Hello, Kitty ! Découvrir les chats dans l’art japonais

Hello, Kitty ! Découvrir les chats dans l’art japonais    
Samedi 5 octobre 2024, de 14 h à 15 h

GRATUIT. RSVP obligatoire.

Qu’ils soient tapis dans les coins ou qu’ils occupent le devant de la scène, les chats sont omniprésents dans l’art japonais. Ils portent chance, illustrent une histoire traditionnelle ou témoignent d’un monde invisible où règnent la magie et le surnaturel. 

Des estampes et des peintures de l’époque Edo aux origines de Maneki-Neko et au phénomène mondial de Hello Kitty, ce programme permet une exploration passionnante du rôle que jouent les chats domestiques dans l’art japonais et la culture populaire. Avec comme invité Rhiannon Paget, auteure de Divine Felines : The Cat in Japanese Art (2023), et animé par Akiko Takesue, découvrez les origines de certaines références les plus répandues sur les chats dans la culture populaire mondiale.

Intervenantes : 

Rhiannon Paget

Spécialiste de l’art et de la culture japonaise, Paget a activement publié dans le domaine de l’art asiatique, notamment Hiroshige & Eisen : The Sixty-Nine Stations along the Kisokaido (2024) ; co-écrit avec Andreas Marks, Divine Felines : The Cat in Japanese Art (2023) ; Saito Kiyoshi : Graphic Awakening (2021) ; et Hokusai (2018). Elle est l’auteure de l’article Shin Nanga dans la « Routledge Encyclopedia of Modernism » et a rédigé de nombreux essais, des articles de revues et de catalogues.

Akiko Takesue

Akiko Takesue a rejoint le ROM en 2021 en tant que conservatrice associée de l’art et de la culture japonaise du Comité Mgr White, un poste doté. Elle est responsable de la recherche et du développement des collections d’art et de culture japonaises du Musée, qui comptent environ 10 000 objets et datent de la période Jōmon (10 000-300 avant notre ère) à nos jours. Bien que la collection couvre les domaines les plus importants de l’art japonais, ses points forts sont les gravures sur bois des 18^e et 19^e siècles, les armes et les armures, les céramiques, les ustensiles pour la fabrication du thé (la collection Yamagami) et la laque. Akiko développe également une vision pour la nouvelle galerie Prince Takamado du Japon.

Les Causeries du ROM bénéficient du soutien généreux de la famille Schmidt.