Nosferatu, vers 1931, produit par Prana Film (Allemagne), lithographie imprimée en Espagne, (107,3 x 74 cm).
Avec la permission de la Collection de souvenirs du cinéma d’horreur et de science-fiction de Kirk Hammett
TORONTO, le 5 décembre 2019 – Deux expositions artistiques du Musée royal de l’Ontario (ROM) - Sauve qui peut ! L’art des grands films d’horreur et de science-fiction de la collection de Kirk Hammett et Accueillir les divinités : Portraits d’ancêtres et estampes de dieux pour le Nouvel An chinois – quitteront l’affiche le dimanche 5 janvier 2020. Présentées dans des galeries voisines au 4e étage du Musée, ces deux collections d’affiches offrent un rare aperçu du surnaturel.
Une centaine d’objets liés aux films d’horreur et science-fiction du 20e siècle sont présentés dans l’exposition intitulée Sauve qui peut ! L’art des grands films d’horreur et de science-fiction de la collection de Kirk Hammett, commanditée par Cosmo Music. Très prisée par les amateurs du genre, cette exposition explore les rapports entre créativité, émotions et culture populaire. Elle réunit des objets d’art cinématographique très convoités et primés appartenant à un collectionneur passionné : Kirk Hammett, le célèbre guitariste du groupe Metallica. Parmi les joyaux de l’exposition figurent le seul exemplaire connu de l’affiche originale du film Frankenstein (1931), des guitares électriques personnalisées de la collection de Kirk Hammett ainsi que des costumes de film authentiques portés par des mannequins grandeur nature.
L’exposition Accueillir les divinités, dont les œuvres proviennent de la collection du Musée, présente nombre de portraits d’ancêtres et d’estampes populaires que les familles chinoises utilisent traditionnellement à l’occasion des célébrations du Nouvel An lunaire. L’exposition réunit plus de 100 objets qui vont de la fin de l’Empire jusqu’à la République de Chine, au début du 20e siècle. Axée sur les portraits d’ancêtres et les estampes populaires représentant des divinités, elle explore la relation existant entre ces deux genres qui peuvent a priori sembler distincts. La perception qu’on a de ces estampes a bien changé : considérés comme des objets communs quand le ROM a commencé à les collectionner au début du 20e siècle, ils sont devenus aujourd’hui d’importants biens culturels illustrant les croyances domestiques et les valeurs familiales propres à la société chinoise. Présentée dans la Galerie Roloff Beny au niveau 4, l’exposition Sauve qui peut! L’art des grands films d’horreur et de science-fiction de la collection de Kirk Hammett exige l’achat d’un billet supplémentaire. L’exposition Accueillir les divinités, présentée dans la Galerie Patricia Harris des textiles et du costume, au niveau 4, est comprise dans le billet d’entrée.
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LE ROM
Ouvert en 1914, le Musée royal de l’Ontario (ROM) fait connaître les arts, la culture et la nature du monde entier au fil des siècles. Le ROM, l’une des 10 institutions culturelles les plus réputées d’Amérique du Nord, est aussi le musée le plus important et le plus complet au Canada. Ses collections de classe mondiale réunissent plus de treize millions d’objets d’art et de spécimens naturels dans 40 galeries et salles d’exposition. Principal centre de recherche sur le terrain au pays et chef de file mondial pour ses découvertes originales, le ROM joue un rôle essentiel dans notre appréciation des arts, de la culture et de la nature. Le Musée, qui allie l’architecture de l’édifice historique et le style contemporain du Cristal Michael Lee-Chin créé par le Studio Daniel Libeskind, constitue à la fois un site d’intérêt national et une destination culturelle dynamique en plein centre de Toronto dont tous et toutes peuvent profiter.
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