Pour beaucoup de gens, le montant d’impôts qu’ils doivent l’année de leur décès est supérieur à la somme qu’ils ont payée n’importe quelle autre année. L’une des raisons possibles serait le revenu supplémentaire produit par la disposition présumée de certains biens au décès, ainsi que l’ajout au revenu de prestations dans le cadre d’un régime enregistré d’épargne-retraite (REER) ou d’un fonds enregistré de revenu de retraite (FERR), surtout en l’absence de conjoint qui serait le bénéficiaire désigné.
Les dons faits au moyen d’un REER ou d’un FERR constituent une façon courante de réduire considérablement, voire d’éliminer, le fardeau fiscal de la succession après le décès du donateur.
Vous jouirez de l’usufruit pendant toute votre vie et le reste sera versé au ROM à votre décès. Votre don peut être entièrement déduit de votre revenu imposable pour l’année de votre décès et, s’il ne peut être affecté à 100 %, il peut servir à réduire les impôts payés l’année d’imposition précédente
Vous pouvez aussi faire dès maintenant un don en liquide ou faire don de biens immobiliers ou de la police d’assurance les concernant dans votre testament, ce qui vous donnera des crédits d’impôt que vous pourrez étaler sur six ans.
L’histoire de Jean
Si vous demandez à Jean Read ce qu’elle préfère au ROM, elle vous répondra « Tout! » sans hésiter. Ça fait plus de 15 ans qu’elle s’engage pour le ROM, d’abord au Conseil d’administration, puis au Service des bénévoles du Musée. Puisqu’elle aime toutes les facettes du Musée, il n’est pas étonnant qu’elle ait demandé que ses dons annuels et dons planifiés soient affectés à l’entretien des collections. Elle a, ces dernières années, soutenu des projets comme la restauration de la collection Paul Kane et le nettoyage des lions gardiens chinois sur Queen’s Park. En offrant au ROM des fonds provenant de ses régimes de retraite, elle contribue à préserver les innombrables trésors du Musée, dont pourront profiter les futures générations.